BIODIVERSITÉ - Qu’ils soient mammifères ou invertébrés, soyeux ou gluants, mignons ou repoussants, les êtres vivants qui composent la biodiversité n’existent pas pour nous faire plaisir, et encore moins pour nous ressembler.
Et même s’il est humain d’avoir une petite préférence entre les ours polaires et les anémones, cela ne doit pas influencer la priorité qu’on leur réserve dans la protection de la nature qui nous entoure.
Eh oui, l’importance d’une espèce dans l’écosystème n’a rien à voir avec sa beauté. Nos préjugés peuvent même s’avérer dangereux pour la planète, comme vous pouvez le découvrir dans ce nouvel épisode de l’Enver(t) du décor, le podcast environnement du service sciences du HuffPost.
Les sources utilisées :
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Un article du Smithsonian sur la disparition dramatique des parasites
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Une étude sur le problème de notre empathie envers les animaux par Jennifer A. Mather
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Une analyse sur l’importance des vers de terre (et la citation de Darwin)
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Le point de vue du conservationniste Peter Kareiva sur les rapports homme/animal
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Le constat que les espèces protégées continuent de dépendre de nos efforts de protection
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Le rôle primordial des prédateurs alpha dans la chaîne alimentaire
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La campagne contre-productive du WWF mettant en scène un ours blanc
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